
La motivation, c’est quand les rêves enfilent leurs habits de travail.
benjamin franklin
Pourquoi cela parle de nous ?
Parce qu’à la racine d’un sentiment d’impuissance ou d’une routine qui s’installe il y a souvent une incapacité à s’entendre sur un constat et sur la destination qu’il faut atteindre.Les débats collectifs que nous rencontrons dans nos CODIR, ou nos CA ne s’articulent pas autour des facettes du réel.
Les bonnes questions, celles qui répondent aux interrogations pragmatiques, à tous les « qu’est ce qui fait que » ne sont pas posées.
Si ces questions puissantes, celles qui interrogent la réalité dans ses différentes composantes, celles qui interrogent nos fonctionnements ne sont pas posées.C’est difficile d’apporter de nouvelles (bonnes) réponses.
Se poser, tout simplement, en vérité la question suivante « Que dit la situation de nous ? » permet d’enclencher la spirale remontante.
Celle qui nous conduit à trier, identifier les causes, les sujets qui conduisent aux blocages.
La spirale remontante nous élève. Elle invite la folle du logis…celle qui nous ouvre à l’innovation, la vraie. Elle nous fait sortir de nos conditionnements (familiaux ?) et ouvre de nouveaux champs.
Pourquoi j’en parle ?
Parce que c’est la base du coaching. Et le coaching est devenu un mot éponge, une auberge espagnole ou chacun amène les nourritures les plus diverses.
Je ne m’inscris pas dans cette cohorte de coachs qui brandissent leurs outils et leurs méthodes d’animation. Comme si nous avions besoin d’être animé (étymologiquement « apporter une âme »).
!et le premier coach était peut être Platon…